Témoignages

J’ai commencé à faire de l’arthrite au début de la vingtaine, mais c’est à l’âge de 32 ans que j’ai eu la crise la plus sévère. C’était peu après le décès de mon père, et les médecins attribuaient ma crise à un gros choc émotionnel. À mon réveil, un matin, la douleur était telle que je pouvais à peine bouger : je ne pouvais ni ouvrir les mains ni plier les jambes, et chaque déplacement était laborieux. J’avais de la difficulté à prendre mon bébé, à en prendre soin, à manger. Bref, c’était une crise d’arthrite épouvantable, la pire de ma vie.

Cela est arrivé environ six ans avant que nous commencions l’élevage du wapiti. Après avoir consulté plusieurs spécialistes, essayé différents médicaments et produits naturels qui n’étaient pas suffisant pour soulager mes douleurs articulaires, je commençais à désespérer. J’avais des bonnes journées, mais j’avais parfois des douleurs très aigues, surtout au moment du réveil. Le matin, mon dos était tellement douloureux que je ne pouvais me lever seule. Mon mari devait m’aider, sinon, j’en avais pour une demi-heure juste pour me sortir du lit. Je ne pouvais pas me vêtir sans aide.

Finalement, lorsque nous avons commencé l’élevage de wapitis, mon mari est revenu de l’Ouest avec des capsules de bois de velours : les éleveurs lui avaient juré que cela me ferait le plus grand bien. J’étais très sceptique. Comme je n’avais rien à perdre, j’ai décidé d’essayer le produit pendant une semaine : j’ai pris une capsule la première journée, puis deux le lendemain et chaque jour suivant. Rien! On aurait même dit que j’avais plus de mal. J’ai abandonné le traitement.

Quelques semaines plus tard, on m’a expliqué que, comme pour tous les produits naturels, il faut en avoir dans tout le système pour en ressentir les bienfaits. J’étais encore sceptique, mais j’ai décidé de jouer le tout pour le tout. On m’avait recommandé de prendre quatre capsules de velours par jour pendant deux ou trois jours, puis trois pendant une semaine. On m’affirmait que, contrairement aux médicaments que je prenais, les capsules ne me donneraient aucun effet secondaire.

J’étais tellement désespérée que j’ai pris plus de capsules que ce qu’on me recommandait : au bout d’une semaine, j’avais pris trente-cinq capsules. Lorsque je me suis réveillée le huitième matin, je n’avais aucune douleur dans le dos. J’ai réussi à m’assoir seule dans mon lit en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. J’étais tellement surprise, je croyais rêver. Je me suis recouchée et me suis assise de nouveau. Cela a réveillé mon mari. Il croyait que j’avais essayé de me lever et que j’étais tombée. Non! je lui ai dit, Regarde! Je me suis recouchée et me suis assise une troisième fois. Lui non plus n’en croyait pas ses yeux : je souriais au lieu de pleurer! Je me croyais guérie.

J’ai arrêté de prendre du bois de velours de wapiti. Au bout d’une semaine, le mal est revenu en force. J’ai compris qu’il faut que j’en aie toujours dans le système si je ne veux pas me retrouver dans le même état qu’autrefois.

Maintenant, je prends deux capsules par jour et je me sens bien. Bien sûr, il arrive parfois que j’aie de petites douleurs, mais ça s’endure. Lorsque la douleur devient trop forte, j’augmente la dose pour une journée ou deux ou bien je prends un comprimé Advil en plus des capsules. Ce n’est rien de prendre un Advil de temps en temps comparé à ce que je devais avaler avant comme médicaments. Je n’ai jamais eu d’effets secondaires désagréables. C’est un produit 100% naturel. C’est donc en toute connaissance de cause que je vous le recommande.

Nous vous invitons à communiquer avec nous pour nous faire part de votre témoignage sur l’utilisation du bois de velours.